Studio de graphisme & création Web – Agence de communication

Le design pour vous donner le sourire

c’est ce que je m’efforce de faire chaque jour.

Le design pour vous donner
le sourire...

C’est ce que je m’efforce de faire chaque jour.

Karine Boulay, créatrice éthique de supports de communication Web et Print. ​

Avec vous, je définis, conçois et réalise les outils que vous partagerez avec vos clients. De la charte graphique au site internet, en passant par le flyer, la carte de visite, la bannière des réseaux sociaux ou l’affiche web… je suis votre collaboratrice numérique.

Et j’ai un concept bien à moi. Avez-vous porté attention au sixième mot de la première phrase ? Au-delà de mon savoir-faire, ce concept représente la part qui me tient le plus à cœur dans mon activité. Vous l’avez trouvé cet adjectif de 7 lettres ? É.T.H.I.Q.U.E.

Mais que se cache-t-il derrière ce mot ? Ou plutôt, « qui » se cache derrière lui ? Eh bien, c’est moi ! Je suis une personne intrinsèquement éthique. Je n’y peux rien, c’est comme ça ! Je ne pouvais donc donner vie qu’à une activité qui me ressemble.

Alors, peut-être devrions-nous faire plus ample connaissance ?

Être éthique, c’est respecter la personne en face de moi

J’ai 6 ans et Elle (je sais, il n’y a pas de majuscule ; mais « Elle » la vaut largement !), donc j’écrivais : j’ai 6 ans et Elle va me donner une leçon de vie.

Je passe mes vacances à Sion-les-Mines, haut lieu de villégiature de Loire-Atlantique.

Je suis chez ma grand-mère paternelle (Elle).

En ce vendredi, avec Marie-Céline, ma cousine, nous bravons un interdit : nous jouons dans l’atelier de mon grand-père, pièce sacrée et « potentiellement dangereuse ».

Tout se passe bien jusqu’au moment où un marteau échappe des mains de Marie-C., tombe sur mon pied et m’ouvre un orteil.

Effrayée par la blessure, ma cousine s’enfuit. Je me retrouve seule et, terrorisée par les représailles à venir, je me cache sous l’établi.

Quelques temps plus tard, j’entends ma grand-mère s’époumoner en criant mon prénom. Je ne réponds pas. Elle finit par me découvrir morte de peur, recroquevillée sous la table de travail.

Et Elle, si soulagée de me retrouver, m’enlace et m’embrasse. Je ne comprends rien. Alors que j’attends une punition, je reçois un amour inconditionnel.

Ce jour-là, j’apprends que la personne prévaut au-delà même des interdits ou des différences (dans la limite de la mauvaise intention, bien sûr !). 

Cette valeur de vie, le respect d’autrui,  j’ai continué à l’enrichir alors que je travaillais dans un institut de sophrologie, en Bretagne. J’y ai développé ma capacité d’écoute, mon absence de jugement sur les uns et les autres et ma bienveillance.    

Aujourd’hui, lorsque je vous rencontre, c’est dans cet état d’esprit que vous me voyez.

Je ne vous entends pas lorsque vous m’exposez vos besoins ; non, je vous écoute.

Je ne vous juge pas quand m’expliquez vos difficultés ; non, je les constate.

Je ne vous presse pas quand vous hésitez ; non je vous aide à avancer dans votre projet de communication.

En résumé, je vous respecte, vous et votre entreprise.

Être éthique, c’est respecter mon authenticité

Et oui, je suis unique et fière de l’être ; avec mon savoir-être, mon savoir-faire et mes failles (parce que vous n’en avez pas, vous ?), je respecte qui je suis et je reste vraie.  

De toute façon, je ne sais pas mentir. Évidemment, j’ai déjà essayé, mais rien n’y fait.

Même mon ami d’enfance, n’a pas réussi à me faire sombrer. Ce compagnon de jeux accumulait les 400 coups (il était trop fort !).

Un matin – et un seul, je le jure –, il m’entraîne dans une de ses bêtises.

 Alors que nous nous promenons dans le village, nous « ramassons » un panier plein de victuailles abandonné (en tout cas, c’est ainsi que nous l’avons vu ; enfin que mon ami l’a considéré). 

Nous l’apportons à la maison et le cachons dans un débarras. 

Lors du déjeuner, ma mère nous raconte qu’une personne s’est fait voler son cabas alors qu’elle faisait ses courses. 

En un instant, je me retrouve dans la peau d’une voleuse. Comment est-ce possible ? Moi, si intègre (euh, j’avoue… que je ne connaissais pas le mot, à l’époque), comment pouvais-je tomber si bas ?

Trois heures ! J’ai tenu trois heures ! Ensuite, je suis allée me dénoncer. Je ne me souviens pas avoir été punie ; mais je me souviens du soulagement à rétablir la vérité.

Aujourd’hui, dans ma relation à l’autre, rester authentique et vraie, me permet d’établir un climat de confiance. 

Cette confiance s’impose comme un pilier incontournable pour partager et travailler ensemble, afin de créer les éléments de communication pertinents dont vous avez besoin.

Et pour donner vie à vos cartes de visite, vos flyers, votre site Web, etc., j’ai besoin de vous connaître. Ça tombe bien, car je suis…

Et oui, je suis unique et fière de l’être ; avec mon savoir-être, mon savoir-faire et mes failles (parce que vous n’en avez pas, vous ?), je respecte qui je suis et je reste vraie.  

De toute façon, je ne sais pas mentir. Évidemment, j’ai déjà essayé, mais rien n’y fait.

Même mon ami d’enfance, n’a pas réussi à me faire sombrer. Ce compagnon de jeux accumulait les 400 coups (trop fort !).

Un matin – et un seul, je le jure –, il m’entraîne dans une de ses bêtises.

 Alors que nous nous promenons dans le village, nous « ramassons » un panier plein de victuailles abandonné (en tout cas, c’est ainsi que nous l’avons vu ; enfin que mon ami l’a considéré). 

Nous l’apportons à la maison et le cachons dans un débarras. 

Lors du déjeuner, ma mère nous raconte qu’une personne s’est fait voler son cabas alors qu’elle faisait ses courses. 

En un instant, je me retrouve dans la peau d’une voleuse. Comment est-ce possible ? Moi, si intègre (euh, j’avoue que je ne connaissais pas le mot, à l’époque), comment pouvais-je tomber si bas ?

3 heures ! J’ai tenu 3 heures ! Ensuite, je suis allée me dénoncer. Je ne me souviens pas avoir été punie ; mais je me souviens du soulagement à rétablir la vérité.

Aujourd’hui, dans ma relation à l’autre, rester authentique et vraie, me permet d’établir un climat de confiance. 

Cette confiance s’impose comme un pilier incontournable pour partager et travailler ensemble, afin de créer les éléments de communication pertinents dont vous avez besoin.

Et pour donner vie à vos cartes de visite, vos flyers, votre site Web, etc., j’ai besoin de vous connaître. Ça tombe bien, car je suis…

... Karine, une créatrice digitale éthique profondément passionnée

Une insatiable faim de découvrir et d’apprendre vit en moi ! Et là, merci qui ?

Merci, Papa ! Mon père, ce passionné.

Si l’Histoire et Picasso ont eu différentes périodes, mon père les bat à plate couture. 

L‘Histoire en compte 4, Picasso 5, et mon père, d’innombrables. 

Une période, une passion – jamais deux en même temps !

De ma naissance à ma vie estudiantine, il les a toutes partagées :

  • pêche (j’ai apprécié de découvrir les rivières et la nature, beaucoup moins d’enfiler un ver sur un hameçon),
  • piscine, 
  • cinéma, 
  • danse, 
  • DJ (que de soirées mémorables),
  • palet breton (je n’ai pas trop adhéré à tous ces concours, le dimanche),
  • yoga, 
  • jeux de cartes (j’ai préféré le tarot à la belote) et bien d’autres…

Tous ces moments de connivence (ou pas) m’ont permis de découvrir des univers tous aussi différents les uns que les autres.

En partageant ses passions, mon père, sans que nous le sachions ni l’un ni l’autre, m’offrait un cadeau merveilleux, celui de m’ouvrir à des mondes inconnus et à les expérimenter.

Et combien cette ouverture d’esprit s’avère fructueuse dans mon activité, aujourd’hui. 

Grâce à elle :

  • Je m’engouffre avec joie et professionnalisme dans votre univers, 
  • Je m’enrichis de votre histoire et de vos idées,
  • Je m’adapte sans orgueil quand vos propositions ou critiques se révèlent juste « justes », constructives et bénéfiques à votre projet.

En résumé, je vous propose une véritable collaboration dans l’échange et le respect l’un de l’autre.

Ma curiosité (bien placée), je la dois aussi à Madame Dufonteny.

« Madame qui ? », vous demandez-vous.

Madame Dufonteny, la culture incarnée !

Ah, tous ces instants passés en compagnie de ma voisine préférée.

Mon père me faisait vivre diverses expériences ; elle, elle enrichissait mes capacités intellectuelles.

Grâce à cette femme, j’ai eu accès à la culture, au savoir.

Que de mots appris durant les parties de Scrabble ! Que de mondes, alors inaccessibles, effleurés pendant nos échanges.

Elle partageait ses connaissances avec tant de générosité : art, histoire, géographie, littérature… Je me demande encore aujourd’hui si elle avait des lacunes. 

Peut-être le sport ? Oui, c’est ça ! Elle n’était pas sportive, Madame Dufonteny.

Vous l’aurez compris, la curiosité, pour moi, représente l’une des plus belles qualités. 

Lors de nos échanges, je vous poserai des questions.

Mon unique but ? Vous découvrir.

Car, comme dit Georges Picard : « On ne parle jamais aussi bien de ce qu’on ne connaît pas mais désire connaître… ».

Et mon plus grand souhait est de créer, pour vous, des supports de communication Web et Print qui reflètent votre authenticité, votre unicité.

Vos cartes de visite, vos flyers, votre site internet, tous vos documents doivent refléter votre vérité afin de donner confiance à vos prospects.

C’est de cette manière que vous toucherez les clients qui vous correspondent et que vous vous différencierez de votre concurrence.

Karine Boulay, créatrice éthique en communication Web & Print

Karine, vous avez dit « créatrice » ?

Pour tout vous avouer, ma créativité est restée enfouie en moi durant de longues années : parfois je l’ai même refreinée (idiote tu as été, petite padawan).

En 1492, Christophe Colom découvre… les Bahamas.

En 1992, durant mes études, je découvre... le Mac

Le graal, l’intouchable s’érige, en vrai, devant moi. Waouh ! Truc de dingue ! Le plus fou ? Il m’est permis de l’utiliser.

Je découvre la création informatique, le monde de tous les possibles dans le domaine de l’esthétisme numérique (bon, on ne s’emballe pas ; nous sommes en 1992).

Durant un an, je balbutie et… Et cela s’arrête là. Je remballe ma joie créative et je poursuis mon chemin. En clair, il va falloir trouver du travail !

En 1994, je rencontre Hélène Leroy.

Elle et son mari dirigent un institut de sophrologie. Ils me recrutent comme assistante.

Avant cette rencontre, je n’avais jamais exploité mes capacités créatrices. Grâce à Hélène, elles vont se réveiller et se révéler un peu plus chaque jour. Ses idées foisonnent et nos mains façonnent.

Des cartes de visite pour le nouvel an ? C’est parti ! Découpages, cartonnages, emporte-pièces, pochoirs, tampons, etc. Tout me passionne.

Atelier peinture ? D’accord ! Ce maelström de couleurs me ravit.

Création de bouquets ? Ouiiii ! Nous cueillons les fleurs du jardin, nous les déposons dans la cuisine et nous marions marguerites, iris, roses et verveines pour obtenir de splendides compositions végétales

En 1998, j’ai mon Mac à moi (il me parle d’aventures).

Le bonheur !

Mes employeurs me donnent leur confiance et la liberté de créer tous leurs supports (tu as raison, Patricia, c’est le début d’une sacrée aventure !).

Dans un premier temps, je rédige et mets en page tous les cours. Mon fil conducteur : respecter les élèves en leur proposant un document agréable au regard et compréhensible à la lecture.

Par la suite, je créerai tous les outils de communication dont les plaquettes de documentation et les affiches de divers congrès. C’est l’éclate totale !

Voilà, c’est dans cette école des Pays-de-Loire, puis de Bretagne, que j’ai découvert, exploité, et développé mes capacités créatives. 

Sur ces terres, mes sources d’inspiration se sont imposées : les autres. En d’autres termes : vous !

Vous comprenez alors que sans échanges, je reste figée, apathique devant mon écran d’ordinateur.

Lors de nos rencontres, j’écoute vos besoins, évidemment. Mais surtout, je puise mes idées dans vos valeurs, vos émotions, votre histoire, vos anecdotes, etc.

Toutes les informations partagées se transforment en formes, en couleurs, en mots, en images, en fait en une identité visuelle unique qui vous ressemble.

Karine, vous avez dit « communication web » ?

Ouais, ouais, web !

Vous avez raison, adapter une communication, un message  au support spécifique du Web, ça ne s’invente pas. Je dirais même que cela s’apprend… à l’école.

Par où commencer ? Par mes enfants !

J’ai trois fils. Après son bac, l’aîné opte pour des études de…  Webdesign. Combien je l’ai envié ! Si à 18 ans, un tel parcours m’avait été proposé, j’aurais fait le même choix. Quelle chance, il avait !

Quelques temps après sa rentrée scolaire, je réalise un bilan de compétences. À la suite de ce travail, trois métiers sont proposés.
Vous me croyez si je vous dis qu’en tête de liste était écrit le métier de…

«Webdesigner » ? (Je vous rappelle que je ne sais pas mentir !).

Et là, la petite voix dans ma tête avec ce message qui tourne en boucle :

« Non, mais ça va pas ! Tu ne vas quand même pas faire le même métier que ton fils ! Tu es trop vieille ! Et puis, tu te vois reprendre des études ? Genre, Karine à l’école. Martine, d’accord. Mais toi ? Tu es ridicule. 

Néanmoins, je préfère passer pour ridicule (surtout depuis qu’il ne tue plus) que de vivre avec des regrets.

Alors, j’en parle à mon fils aîné qui me répond : « Ce n’est absolument pas une question d’âge, et je serais trop content si tu devenais Webdesigner. »

Mais face à lui, je ne me sentais toujours pas légitime. J’ai donc contacté des professionnels. A découlé de ces entretiens une nuée d’encouragements :

« Lancez-vous ! » 

« C’est n’importe quoi cette barrière de l’âge. »

« Foncez ! Vous réussirez. »

Soutenue par mon mari et mes enfants, je les ai écoutés.
18 mois plus tard et une formation en poche, je donnais naissance à mon studio de graphisme, design et création Web.

KB studio à Sion-les-Mines, entre Ancenis et Bain-de-Bretagne

Quelle idée d’ouvrir une agence de communication à… Sion-les Mines ?

Vous savez, je suis une fille de la campagne et je le revendique. Lutter contre la désertification rurale me tient particulièrement à cœur.

Je suis née, ici, à Sion-les-Mines. Année après année, je vois mon village se vider. Tous les services disparaissent, les commerçants prennent leur retraite, et personne ne s’installe à leur place.

Rendez-vous compte, dans les années 70, ma commune comptait trois bars pour 1 700 habitants, c’était un bon ratio, non ?

Jusqu’au mois de novembre 2021, il n’en subsistait aucun (nous avons été sauvés, non pas par le gong, mais par Sébastien et Nan Legrand, les nouveaux propriétaires du Bar à Mines).

L’exemple peut faire sourire, mais il démontre surtout la perte de dynamisme de ma petite contrée.

Alors j’ai choisi d’asseoir mon entreprise sur les terres qui m’ont vu naître, à la croisée des chemins entre Rennes et Nantes, au nord et au sud, et de Vannes et Angers, à l’ouest et à l’est. 

Certes, j’aurais pu m’installer à Châteaubriant. Sur la carte de visite, ça en aurait un peu plus jeté. Mais je ne fais définitivement pas dans le clinquant !

Mes racines ont pris vie à Sion-les-Mines. Ici, dans cet environnement propice à ma créativité, je bénéficie d’une qualité de vie en accord avec mes valeurs. Et pour vous, c’est tout bénef !  

Une créatrice éthique conçoit des outils de communication... éthiques

Les supports que je vous présente reflètent votre authenticité, transmettent de la confiance et partagent un message vrai (le vôtre).

Ils se différencient de tout ce qui existe déjà. Je m’engage à ce qu’ils soient comme vous : uniques.

Je vous soumets des outils de communication adaptés à vos besoins.

Parfois, par honnêteté et par expérience, avant de commencer à travailler sur votre projet, je vous suggérerai un accompagnement. Il nous permettra de déterminer ensemble les éléments vraiment nécessaires à votre activité.

Bien des fois, vous avez tendance à vous emballer… Aucune inquiétude, je vous ramènerai dans la réalité (toujours avec le sourire).

Je m’inscris dans une démarche écoresponsable. Des logos épurés, des polices de caractères fines, des couleurs savamment dosées, des photos au bon format, etc. réduisent non seulement l’empreinte carbone, mais aussi les coûts de la communication visuelle.

Je vous propose un design simple et minimaliste, une structure de navigation claire et logique ainsi qu’un nettoyage régulier de votre site. Plus celui-ci est est rationalisé, moins il consomme d’énergie.

Et la facture, vous demandez-vous, est-elle éthique (tapez 1) ou en toc (tapez 2) ? Réponse : 1. Je vous adresse des devis au juste prix, pour vous et pour moi.

Mais ça, nous en reparlerons lorsque vous me contacterez.

Karine Boulay, formatrice pédagogue...

Vous souvenez-vous d’une professeure, d’un instituteur, d’une formatrice ou d’un intervenant qui vous a subjugués ?

Pas celui ou celle que vous admiriez avec des yeux de merlan frit – celui-là ou celle-là, vous en étiez raides dingues ! 

Non, je vous parle de cette personne pédagogue, énergique, disponible, et qui dispensait son savoir sans retenu. Vous la visualisez ?

Alors oui, cette femme ou cet homme renfermait toutes les qualités requises pour enseigner ou transmettre ses connaissances, mais surtout, il ou elle était…

…passionnée.

 

Voilà qui je suis ! Je suis passionnée

Je ne me targue pas de devenir cette formatrice qui laissera un souvenir impérissable aux stagiaires.

Je sais rester humble. Mais je vous promets une chose : quand je me tiens face à eux, ils voient mes yeux pétiller de plaisir.

Je les emporte dans mon monde. Un flyer, une mini affiche publicitaire ? Mais pas du tout ! Un flyer, c’est une aventure ; c’est une invitation au voyage ; c’est un vol direct vers une entreprise ; c’est un rêve qui peut devenir réalité ; c’est un souci qui peut se résoudre ; c’est, c’est… Ça y est, je m’emballe…

Mais pas d’inquiétude ; mes interventions, elles, sont parfaitement structurées.


Quelle couleur pour une carte de visite ? Quel logo pour quelle activité ? Quelle image pour une bannière de réseaux sociaux ? L’intérêt (ou pas) d’un site internet ? 

Je soumets aux élèves, mon point de vue de Webdesigner éthique.

À la fin de mes présentations, leur vision des outils de communication change ; et surtout, ils sont parés pour choisir les éléments de com. dont ils ont réellement besoin pour promouvoir leur activité.

et généreuse !

Plus les questions fusent, mieux je me porte. J’adore les audiences curieuses !

Un public timide ?
Je sors mon arme favorite. J’ai nommé « le post-it ». Ça vous intrigue, hein ? Comment un petit bout de papier peut-il devenir une « arme » redoutable ? 

Je ne dévoilerai pas la réponse. Je préserve l’effet de surprise à mes seuls et uniques stagiaires. Normal, non ?

Des questions après mes interventions ? Pour y répondre, je décroche mon téléphone ou je saisis mon clavier avec joie. Ma générosité n’a d’égal que ma disponibilité.

Karine, femme engagée pour la mixité dans les métiers du numérique

Séquence « culture générale ». Un peu de sérieux, que diantre !

Voici donc l’histoire « courte » de la place de la femme dans le développement du numérique :

Du 19è siècle jusqu’après la Seconde Guerre mondiale, le monde de la programmation comptait essentiellement des informaticiennes.

De 1945 à 1970, c’est la parité – avec un petit avantage pour les femmes. 

Et après ? Eh bien, tout bascule. Depuis les années 70 et surtout après 1990, les filières numériques se masculinisent.

Allez, un petit chiffre ! 18 % !

Aujourd’hui, les femmes représentent seulement 18 % des spécialistes des technologies de l’information et de la communication (TIC), dans l’Union européenne (Source : rapport DESI 2020). C’est pas beaucoup, quand même…

Pourquoi ce bouleversement depuis les années 70 ? Parce que dans les seventies, les métiers de l’informatique passent de l’ombre à la lumière. 

Ils attirent ainsi beaucoup plus la gent masculine. Pour en savoir davantage, lisez cet excellent article « Les chiffres clés sur les femmes et la tech », ou ce livre d’Isabelle Collet sur l’inclusion des femmes dans le numérique, Les oubliés du numérique.

En tout état de cause, j’ai choisi de promouvoir mon métier auprès de collégiennes, de lycéennes (avec l’association 100 000 Entrepreneurs) et de femmes en reconversion (Social Builder), afin de leur ouvrir un champ des possibles.

Mon plus profond désir ? Les sensibiliser à la profession fort méconnue de webdesigner, les rendre curieuses et leur donner l’envie de s’y engouffrer (c’est un métier profond à bien des égards).

Engagée dans cette voie, j’ai aussi adhéré à l’association Femmes du Digital Ouest, le premier réseau régional (tout sexe confondu) agissant pour une mixité dans les métiers du numérique.

Ainsi, dans le cadre de ma reconversion, nous avons réalisé cette vidéo (si vous avez 5 min…)

Interview réalisée par Femmes du Digital Ouest : ma reconversion professionnelle

Intéressés par quelques noms célèbres du numérique et par leurs découvertes ?

De 1800 à 1970 

  • Joseph-Marie Jacquard → le métier à tisser « programmable », en 1801.
  • Ada Lovelace → le premier programme informatique, en 1843.
  • Alan Turing, l’un des pères de l’informatique → la machine programmable, en 1936. Tous nos ordinateurs en ont hérité.
  • Hedy Lamarr → le brevet pour sécuriser les télécommunications, en 1941. Ce système est toujours d’actualité dans les liaisons wifi et bluetooth.
  • Jack Kilby → le circuit intégré, en1958.
  • Grace Hopper → les langages Cobol et Fortran respectivement en 1959 et 1970
  • Douglas Engelbart → la souris, en 1968 (« La mère de toutes les démos »).
  • Margaret Hamilton → techniques révolutionnaires de conception logicielle pour la NASA, dans les années 60.
  • Frances Allens → la compilation, entre les années 60 et 70.

De 1970 à nos jours 

  • Federico Faggin → le microprocesseur, en 1971.
  • Bill Gates → Microsoft Windows, en 1975.
  • Tim Berners Lee → le World Wide Web et le premier site internet, le 25 décembre 1990).
  • Steve Jobs et Stephen Wozniak → le Macintosh, en 1984.
  • Linus Torvalds et Richard Stallman → la démocratisation des logiciels gratuits dans les années 90.
  • Håkon Wium Lie → le 1er Cascading Style Sheets ou CSS, en 1994.
  • Louis Monier et Michael Burrows → Altavista, le 1er moteur de recherche de l’histoire en 1995.
  • Jonathan Abrams → Friendster, considéré comme l’ancêtre des réseaux sociaux, en 2002.
  • Larry Page et Sergueï Brin → Google, en 1998.
  • Mark Zuckerberg → Facebook, en 2006.
  • Christian Kroll → Ecosia, le moteur de recherche écologique, en 2009.
  • Ethan Marcotte → le responsive web design, en 2010.
  • Evan Spiegel et Bobby Murphy → Snapchat, en 2011.

Voilà, c’est fini.

Mais « on va pas s’dire au revoir comme sur le quai d’une gare ». Bien au contraire…

Bonjour !

Je suis Karine Boulay, créatrice éthique de supports de communication web et print. Vous venez de me découvrir ; et moi j’aspire à vous connaître.

Qui êtes-vous ? Quel projet désirez-vous que nous partagions ? 

Un besoin, une envie ou une question sur la pertinence de la création d’une identité visuelle, d’un site web, d’un logo, d’un flyer, d’un bandeau pour les réseaux sociaux, d’une affiche, etc. 

Contactez-moi, nous en parlerons !